Origines
Une récente recherche universitaire, qui s’appuie sur des tests ADN très poussés, fait remonter les premières traces de Piston à l’ère Secondaire des fanfares. Plus précisément lors des grands mouvements migratoires de 1976, lorsqu’une grande vague de célébration révolutionnaire a poussé l’une vers l’autre deux populations musicales jusqu’alors bien distinctes : la première issue de l’Ecole Centrale de Paris, la seconde des différents ateliers des Beaux-Arts.
Cette nouvelle souche Piston, croisement de la Scholae Centralis Parisiensis et de l‘Artes Bonae Officinae, s’est avéré particulièrement résistante, puisque l’on trouve encore certains individus directement issus de cette première symbiose.
Depuis son apparition la population Piston est mixte et, bien que sédentarisée à Paris, on y note la présence d’individus à l’accent chantant.
Migrations
On note chez Piston des phénomènes migratoires aléatoires, sous des latitudes les plus diverses et le soumettant à des climats très variés. Piston s’y révèle très résistant, et si son plumage peut en souffrir – de manière heureusement temporaire – à chaque fois son cri reste puissant et harmonieux.
La première migration notable est observée en 1984 en Martinique et à Trinidad. En 1987 on en trouve quelques plumes dans certains masque du carnaval de Venise, et en 1989 au bord de certains lagons de Tahiti.
Plus récemment, en mars 2011, une migration massive est observée et suivie par des agents de l’Alliance Française en Amérique Centrale. Migration-éclair qui en 1O jours frappe les populations du Guatemala, du Salvador, du Nicaragua et de la côte pacifique du Costa-Rica.
Vie sociale
Piston vit en colonie pouvant monter jusqu’à 16 individus, dont le cri va du contre-ut au fa grave. Un a deux individus ne crient pas, mais émettent des bruits rythmés qui semblent être utiles à la synchronisation des sons émis par les autres.
Au fil des années, Piston est apprécié de nombreux artistes aux plumages et talents divers, il est rapporté sa présence auprès de
- Claude Nougaro – au Casino de Paris en octobre 1997 – enregistrement de « L’enfant phare » et de « Marie-Christine » en 1998
- Moebius, dessins en musique à la Fondation Cartier en mars 2011
- Marc Jolivet, « Jolivet Président »
- je termine cette partie plus tard – Belgium